Valentino réinvente son langage stylistique sous le regard unique d’Alessandro Michele. Un maximalisme opulent et fantasque, mêlant les époques, les cultures et les tendances en un cocktail envoûtant, signature de l’univers du nouveau directeur artistique.
Le décor était à couper le souffle : les invités ont été guidés dans un couloir sinueux et faiblement éclairé avant de pénétrer dans un vaste espace d’exposition évoquant un ancien manoir baigné d’une lumière sombre.
Un sol en miroir craquelé, conçu par l’artiste italien Alfredo Pirri, renforçait l’atmosphère onirique. Le front row, sans doute le plus étoilé de la semaine de la mode parisienne, comptait parmi ses invités Sir Elton John, Harry Styles, Florence Welch, Hari Nef, Andrew Garfield, Colman Domingo et Jared Leto.
Inspiré par les œuvres de poètes et de philosophes tels que Théophile Gautier, Michel de Montaigne et Martin Heidegger, Alessandro Michele a cherché à répondre à la question fondamentale : “Qu’est-ce que la beauté ?” Pour le créateur, la beauté est synonyme de délicatesse, de précision et de luxe.
Imprégné de l’esprit des années 60 et 70, décennies clés dans les archives de Valentino et références constantes pour Alessandro Michele, ce premier défilé était une entrée en matière époustouflante.
Une promesse tenue avec brio !
© Valentino